Champions d’Europe, champions du Monde, les Transalpins ont aussi mis les Masters de Pétanque à leur botte. Rizzi et les siens sont décidément injouables !13/3, il n’y a pas eu débat. Rizzi, Cocciolo, Chiapello et Cometto ont enflammé le stade romanais par leur maîtrise du jeu, étouffant proprement l’adversité. Ils ont joué juste, efficace, stratégique, déroulant une jouerie très rarement prise en défaut. La preuve ? Rocher et les siens étaient déjà menés 0/7 après seulement deux mènes de jeu, la faute à Cocciolo, dont le bras n’a pas tremblé pour une imparable mène de six. La formation de Rocher n’a pourtant jamais jeté l’éponge, mais l’Italie était trop forte, serrant incessamment son étreinte sur un adversaire. 2ème étoile pour Rizzi, 1ère étoile pour Cometto, Chiapello et Cocciolo, heureux comme des enfants au moment du sacre, cette Italie-là ne craint personne.Bonetto, trop loin, et pourtant si près…Dans sa quête pour l’incroyable triplé jamais réalisé aux Masters de Pétanque, Mickaël Bonetto a buté sur l’Italie. Le bras de fer s’est joué à peu de choses, un carreau ici ou là, et surtout une faute de jeu sur la dernière mène, où les Français ont préféré pointer que tirer pour casser la gagne. Que pensez-vous qu’il advint… Carreau de Chiapello. Quant à Sarrio, Puccinelli et Malbec, ils ont encaissé une marque de six points pour débuter contre Rocher. Menés puis distancés 1/12, ils ont trouvé les ressources pour inscrire eux aussi six points, pour revenir à 7/12. Mais c’était là la fin de la remontada. |
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